Côte d'Ivoire : la Société générale revendique 19,1% de parts de marché

Par Sylvain Vidzraku  |   |  283  mots
En 2017, Société générale Côte d'Ivoire a réalisé un résultat net de 39,6 milliards de francs CFA, en nette progression par rapport en deux précédentes années. (Crédits : Reuters)
Le directeur général de la Société générale de Côte d'Ivoire, Aymeric Villebrun, a indiqué ce mardi que la Banque détenait l'année dernière une part de marché de 19,1% dans le pays ouest-africain.

Les performances de la Société générale de Côte d'Ivoire (SGCI) l'année dernière sont très bonnes. C'est ce qu'a indiqué à la presse ce mardi, le directeur général de l'établissement bancaire, Aymeric Villebrun.

«La Société générale de Côte d'Ivoire maintient la première place avec une part de marché en croissance, malgré l'environnement fortement concurrentiel», a déclaré le responsable avant d'ajouter que la «part de marché emplois est de 19,1%» et la «part de marché ressources» est également de «19,1%» à fin juillet 2018, contre 12,2%, pour la banque occupant leur second rang en termes de parts de marché.

En ce qui concerne les résultats nets de la Société générale, Villebrun a précisé qu'ils sont en «constante progression d'année en année» et enregistrés à 27 milliards de francs CFA en 2015, à 34 milliards en 2016 et à 39,6 milliards de francs CFA en 2017.

Effets du plan «Tansform to grow»

Ces résultats positifs enregistrés l'année dernière sont à imputer au succès remporté avec le lancement en 2017 de «Transform to grow», un plan stratégique de la Banque mettant un accent particulier sur l'Afrique. Avec ce plan, le groupe Société générale en Afrique subsaharienne ambitionne d'être au cœur du développement et de la transformation du Continent. «Nous voulons être la banque qui avance avec ses clients, les accompagne dans leurs projets de vie et d'entreprise», a expliqué Aymeric Villebrun.

A noter que la SGCI ne cesse de s'engager en faveur des petites et moyennes entreprises ivoiriennes. A la fin de l'année écoulée, le total de ces engagements en s'est élevé à 150 milliards de francs CFA.